Concert au Barbican

Le Barbican Centre de Londres fêtera ses trente ans demain.

Cet imposant édifice de béton, érigé dans la City, est le plus grand centre européen des arts du spectacle. Il s’intègre dans un vaste programme de logements élaboré dans l’après-guerre. L’aura du Barbican doit beaucoup aux conditions exceptionnelles qui ont permis son édification. Cette vitrine de l’architecture brutaliste a été le fruit d’un don de la Corporation de la Cité de Londres à l’Etat et sa construction a coûté 161 millions de livres. Le monstre de béton à l’architecture tant décriée lors de sa réalisation a su se faire aimer des Londoniens au fil des ans.

Nous avons eu la chance d’aller y écouter Jania Aubakirova, Aiman Mussakhajayeva et Denis Shapovalov.
Ce trio piano, violon, violoncelle venu du Kazakhstan et de Russie nous a enchanté d’une sonate de Franck et de Brahms puis du Trio No1 in D minor, Op 49 de Mendelssohn et pour finir en beauté l’ Op 100 (2nd mouvement) de Franz Schubert sublime morceau que vous retrouvez dans le film Barry Lyndon.

Pour finir la soirée en beauté nous avons diné dans un pub juste a coté du Hall, “The Jugged Hare” viande tendre à souhait accompagnée de frites coupées au couteau. la salle est très cosy ambiance gastro pub écossais. Il y a plusieurs adresses dans Londres il y en aura bien un près de chez vous !

Merci à l’association autour du piano qui nous a offert ces places.

Jalouse

Pour nous remettre de notre diner Burlesque nous avons fini la soirée au club Jalouse.

Club soit disant TRÈS select, on s’attendait à être des méga VIP ! On a pas été déçus du voyage. Heureusement grâce à N, nous avons évité la queue dans le froid, mais une fois descendus, on se serait crus dans une fourmilière. Noir de monde !  on a pris un  podium en otage pour pouvoir danser en respirant un peu. Heureusement la musique était sympa, au final une soirée très sympa.

Photos avec et sans monde, pour donner une idée (il y a au moins 3 espaces comme celui-ci)

General Elektriks au Jazz cafe

Qui n’a pas siffloté légèrement sur Raid the Radio…..

GENRAL ELEKTRIKS : Derrière ce nom, se cache RV (Hervé Salters), avant tout clavier, spécialiste des instruments vintage 60′s et 70′s : Clavinet, Hammond, Rhodes, etc. RV s’est illustré au sein de Vercoquin, accompagnant M .
Il est auteur, compositeur, multi-instrumentiste, GE est aussi un producteur de génie, le hip hop devient pop, le funk glisse vers le rock, la soul se fait électronique… Un son est né, unique.
Il fait partie de ces groupes qu’on ne peut pas classer dans un genre.

On dit qu’ils ont le pouvoir de vous ramener à la vie, que les murs tremblent, que les fondations des constructions se soulèvent de plaisir, que les bassins remuent dès les premières envolées du clavier. On murmure que ce n’est que le début, que ça vous prend en pleine cage thoracique et que ça ne vous lâche plus. Les gens disent tant de choses.

Voici de quoi illustrer tout ça

On a eu la chance de les écouter et de danser avec eux au Jazz Cafe de Camden.

Super concert qui donne la pêche, album à découvrir d’urgence !

Je vous Conseille : Raid the Radio et Summer is here clic, clic !!!

Agnes Obel a L’Union Chapel

Agnès Obel sur la pochette de son album, elle ne sourit pas !

Elle pose : cheveux tirés vers l’arrière, regard bleu-vert austère, pull de grand-mère. Le fond est sombre, le visage pâle, l’air grave, à coté d’elle une chouette : pour un peu, on croirait observer un portrait mormon.

Très étonnant de voir arriver sur scène une petite blonde fluette aux cheveux longs un peu décoiffés, très moderne. Elle joue des chansons pour la forêt, ou des chansons pour la nuit, ou des chansons pour les deux en même temps. On se laisse emporter par sa voix et par les mélodies. Son album s’écoute en boucle !

en plus nous avons été séduites par l’Union Chapel qui peut contenir 800 personnes. Elle et est utilisée par des artistes pour des concerts intimes souvent des voix puissantes ou accompagnées de piano, violoncelles et pour nous une Harpe.

Je vous laisse vous faire une idée par vous même. Riverside ici !!!

Metronomy : Vous ne verrez plus jamais les mouettes comme avant

Voici une de mes découvertes musicales phares de l’année : METRONOMY

Ils étaient lundi soir en concert au Royal Albert Hall (tiens, tiens…)  Je ne suis pas certaine que cette salle était la plus adéquate niveau phonique, on entendait effectivement un sacré écho.

Metronomy c’est avant tout le projet de Joseph Mont qui mène le groupe à la baguette ses acolytes sont Oscar Cash (saxophone, choeurs et claviers), Anna Prior (batterie) et Gbenga Adelekan (basse et choeurs).

L’album Pip Paine (Pay the £5000 you Owe) en 2006 Était un joyeux bordel Électro robotique bizarroïde qui est resté assez confidentiel. Une flopée de remix a suivi (Kate Nash, Klaxons, Britney ou encore Dead Disco) permettant au groupe de se faire un nom dans le milieu. Puis vient « Nights Out » en 2008, véritable Buzz et Coup de coeur musical de l’année, c’est l’Électro disco rock qui prime et enflamme les « dancefloor ». Sur English Riviera leur 3eme album on bascule dans un autre univers, plus Électro-pop tout en conservant la marque Metronomy: Une nonchalance mélancolique, Énergique et surprenante.

Ma favorite est The Look

Bye Bye Amy

Une pensee pour ses proches

Cocoon en concert

En voyant le film l’Arnacoeur, j’ai fondu en entendant un morceau de Cocoon, “Chupee”.

J’ai ete ravie de voir que ma petite salle de concert prefere le Bush Hall les avait dans sa programmation d’Avril.

Cocoon est  un groupe de pop / folk français chantant en anglais, créé en 2006, il est composé de Marc Daumail (né le 6 décembre 1984) (chant et cordes) et de Morgane Imbeaud (née le 14 avril 1987) (chant et clavier).

Hier nous sommes donc alles a leur concert, un vrai moment de bonheur.
Marc le chanteur prepare un album solo… A suivre de pres.

Petit concert Grands coups de coeur.

Je suis allee voir le concert de Emma’s Imagination.

Cette chanteuse de 28 ans et a gagne la Finale de Must Be the Music l’an dernier.
Must Be the Music est l’equivalent de La Nouvelle Star en France, avec en prime un jury de bon niveau (du moins a mon gout. Jamie Cullum  que j’adore (extraits ici et ici ) et Sharleen Spiteri chanteuse du groupe Texas (extraits ici). Je ne parle pas de Dizzie Rascal dont je ne connais pas le repertoire, mais ayant pitie de vos oreilles je me passerai de vous en mettre un extrait.

Bref, Emma nous a envoute pendant une cinquantaine de minutes, dans ce petit Theatre qu’est le Bush Hall.  Ambiance cosy et intime pour des chansons dont elle signe elle meme les paroles et la musique.

Lucia de Lammermoor

Dimanche dernier nous avons assiste a la representation de Lucia de Lammermoor, en direct du MET Opera de NYC.

Je n’etais malheureusement pas a NYC le WE dernier !, mais a l’IMAX de Waterloo vous pouvez assister a des retransmission en direct et profiter de reportages sur les coulisses durant les entractes pour decouvrir comment les decors sont installes.

Lucia di Lammermoor est un opéra en trois actes de Gaetano Donizetti, sur un livret en italien de Salvatore Cammarano, d’après le roman The Bride of Lammermoor de sir Walter Scott.

Cet opéra est le chef-d’œuvre « tragique » de Donizetti, dont le succès ne s’est jamais démenti. Les deux passages les plus connus sont l’air « de la folie » de l’acte III où Lucia sombre dans une folie irréversible et le grand sextuor de l’acte II, page maîtresse de l’ouvrage. Notons aussi l’air d’Edgar au dernier acte d’une funèbre beauté.

L’action se déroule dans l’Écosse de la fin du XVIe siècle. Les familles luttent entre elles, tandis que les guerres entre catholiques et protestants font rage. Les Ashton — depuis longtemps les grands rivaux des Ravenswood — ont pris possession du château de ces derniers, situé près de Lammermoor…

Petite anecdote : Dans le film Le Cinquième Elément de Luc Besson, l’air de la folie est chanté par la « diva Plavalaguna » jouée par Maïwenn Le Besco, mais c’est le soprano Inva Mula qui l’interprète.

Nous avons passe un excellent moment, je vous le conseille vivement cliquez pour avoir un apercu.

Nostalgie d’NRJ

Je suis peut etre a la traine, mais je voulais vous presenter ce produit qui pour une fan de musique comme moi, a reveille de vieux souvenirs (en face de mon radio-cassette a guetter le hit du moment afin de me faire THE compil et en priant que l’animateur ne ramene pas sa fraise au milieu de la chanson ou pire ne nous balance pas un bon vieux jingle ” Sunshine on Nrj…!! summer time on Nrj !! NRJ !!! the most beautiful radioooooo …..”)
Pour les nostalgiques cliquez ici : NRJ pour ceux nes apres 1990, passez votre chemin, le lien

Bref voici l’objet en question : Un Mix Tape USB

Prenez une cassette audio des années 70, transformez là pour y intégrer une clé USB de 64Mo (en gros 60mn de mp3), et vous aurez l’esprit d’Indochine ou Ha-ha, mais attention ne soyez pas tristes, vous n’entendrez pas les scroutch-scrriiiitch de la bande abimee par vos clés magnétisées et le passage sur les têtes de votre magneto monophonique…
Vive le progres… ou la trouver c’est ici